Dedalus - Communiqué de presse - Pathologie digitale
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Le Centre Hospitalier de Valenciennes dispose de 33 000 équipements (biomédicaux, véhicules, armoires électriques, onduleurs, groupes électrogènes, mobilier médical…). Autant d’actifs à vérifier et à maintenir, ce qui implique près de 12 500 interventions chaque année, uniquement pour le biomédical.
L’établissement a récemment fait le choix de la solution DIMO Maint pour optimiser sa GMAO (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur). Un pari gagnant pour améliorer la réactivité des équipes et mieux gérer les interventions.
Le défi de la gestion de la maintenance hospitalière
Dans un hôpital, la maintenance couvre non seulement les équipements médicaux, mais aussi les infrastructures techniques, telles que les bâtiments et les systèmes de sécurité. Le CH de Valenciennes était équipé d’un ancien logiciel dont le non-renouvellement était annoncé. « Asset + était efficace, mais il devenait de plus en plus difficile à maintenir et ne répondait plus à nos besoins en termes d’intégration des services et de mise en place de la mobilité », explique Nicolas Stebach, responsable du service biomédical.
Pour répondre à cette problématique, le CH de Valenciennes a opté en janvier 2022 pour DIMO Maint MX, une solution en cloud, avec des mises à jour automatiques et une ergonomie adaptée aux utilisateurs. La solution, flexible, permet d’accueillir tous les services de soins concernés, de la maintenance des équipements biomédicaux à celle des infrastructures. « Cette solution nous permet de développer une arborescence similaire pour différents corps de métier. Ainsi, nous avons pu connecter facilement nos équipes en interne mais aussi avec nos prestataires extérieurs. » Ensuite, chaque entité est paramétrable selon ses propres besoins. Le déploiement de cette solution a donc permis de rationaliser les processus, en intégrant à la fois les services biomédicaux, techniques et de sécurité, et en structurant l’ensemble des interventions en fonction des priorités de l’établissement.
Une solution mobile pour plus d'efficacité
L’une des forces majeures de DIMO Maint réside dans sa mobilité. Utilisé via des tablettes ou des smartphones, l’outil permet aux techniciens d’intervenir directement sur le terrain, en accédant instantanément aux informations nécessaires à leurs interventions. Grâce à la numérisation des processus, le suivi des interventions est facilité et permet une traçabilité complète.
M. Sanjosé, directeur commercial de DIMO Maint, souligne l’importance de cette fonctionnalité : « Notre solution offre une réactivité accrue. Grâce à l’application mobile fonctionnant sur smartphone et tablette, les techniciens peuvent scanner les QR codes des équipements, consulter les documents techniques, et enregistrer les interventions en temps réel. Cela simplifie considérablement la gestion, réduit la ressaisie et les risques d’erreur. » L’outil permet de piloter efficacement les demandes de maintenance en aidant à la planification et à la priorisation des interventions.
Anticiper l'avenir grâce à une gestion prévisionnelle
Outre la maintenance en temps réel, le logiciel propose des outils pour anticiper les besoins futurs. Le service biomédical peut ainsi prendre des décisions éclairées « L’un des grands atouts de DIMO Maint est sa capacité à nous aider à anticiper les renouvellements d’équipements en nous alertant sur ceux qui nécessitent des interventions répétées ou qui sont proches de la fin de vie », explique Nicolas Stebach.
En outre, la solution est utilisée pour planifier le remplacement des équipements et optimiser la gestion des stocks. La centralisation des données facilite une gestion plus stratégique à long terme, permettant une prise de décision plus éclairée. Et le déploiement ne se limite pas au CH de Valenciennes. Après avoir étendu la solution au CH Saint-Amand-Les-Eaux, l’hôpital prévoit de la déployer sur d’autres établissements du GHT, dont le CH de Fourmies et le CH Avesnes-sur-Helpe. De quoi centraliser la gestion des équipements et des interventions à l’échelle régionale. Cette mutualisation des ressources devrait renforcer l’efficacité opérationnelle tout en permettant un meilleur contrôle des coûts.
Marion BOIS
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